Puis se plaçant derrière elle, il sortit une pine mince comme un petit doigt, mais très longue. Culculine commençait à s’amuser. La Chaloupe débuta par lui claquer les fesses en disant :
– Eh bien ! mon gros joufflu, tu vas jouer de la flûte ; moi je suis pour la terre jaune.
Il maniait et palpait ce gros cul duveteux et ayant passé une main sur le devant il maniait le clitoris, puis brusquement il entra la pine mince et longue. Culculine commença à remuer le cul en tapant sur Mony qui ne pouvant ni se défendre ni crier, gigotait comme un ver à chaque coup de baguette qui laissait une marque rouge bientôt violacée. Puis au fur et à mesure que l’enculade avançait, Culculine excitée tapait plus fort en criant :
– Salaud, tiens pour ta sale charogne... La Chaloupe, fais-moi entrer ton cure-dent jusqu’au fond.
Le corps de Mony fut bientôt saignant.
Pendant ce temps, Cornabœux avait empoigné Alexine et l’avait jetée sur le lit. Il commença par lui mordiller les nichons qui commencèrent à bander. Puis il descendit jusqu’au con et il le mit entier dans sa bouche, tandis qu’il tirait les jolis poils blonds et frisés de la motte. Il se releva et sortit sa pine énorme mais courte dont la tête était violette. Retournant Alexine, il se mit à fesser son gros cul rose ; de temps en temps, il passait sa main dans sa raie culière. Puis il prit la jeune femme sur son bras gauche de façon à ce que son con fût à portée de la main droite. La gauche la tenait par la barbe du con... ce qui lui faisait mal. Elle se mit à pleurer et ses gémissements augmentèrent lorsque Cornabœux recommença à la fesser à tour de bras. Ses grosses cuisses roses se trémoussaient et le cul frissonnait chaque fois que s’abattait la grosse patte du cambrioleur. À la fin elle essaya de se défendre. De ses petites mains libres elle se mit à griffer sa face barbue. Elle lui tira les poils du visage comme il lui tirait la barbe du con :
– Ça va bien, dit Cornabœux et il la retourna.
À ce moment, elle aperçut le spectacle formé par la Chaloupe enculant Culculine qui tapait sur Mony déjà tout sanglant et cela l’excita. La grosse bitte de Cornabœux venait battre contre son derrière, mais il tapait à faux, se cognant à droite et à gauche ou bien un peu plus haut et un peu plus bas, puis quand il trouva le trou, il plaça ses mains sur les reins polis et potelés d’Alexine et la tira à lui de toutes ses forces. La douleur que lui causa cette énorme pine qui lui déchirait le cul l’aurait fait crier de douleur si elle n’avait pas été aussi excitée par tout ce qui venait de se passer. Aussitôt qu’il eut fait entrer la pine dans le cul, Cornabœux la ressortit, puis retournant Alexine sur le lit il lui enfonça son instrument dans le ventre. L’outil entra à grand-peine à cause de son énormité, mais dès qu’il fut dedans, Alexine croisa ses jambes sur les reins du cambrioleur et le tint si serré que même s’il avait voulu sortir il ne l’aurait pas pu. Le culetage fut enragé. Cornabœux lui suçait les tétons et sa barbe la chatouillait en l’excitant, elle passa une main dans le pantalon et fit entrer un doigt dans le trou du cul du cambrioleur. Ensuite ils se mirent à se mordre comme des bêtes sauvages en donnant des coups de cul. Ils déchargèrent frénétiquement. Mais la pine de Cornabœux, étranglée par le vagin d’Alexine, recommença à bander. Alexine ferma les yeux pour mieux savourer cette seconde étreinte. Elle déchargea quatorze fois pendant que Cornabœux déchargeait trois fois. Quand elle reprit ses esprits, elle s’aperçut que son con et son cul étaient saignants.
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