– D. immédiatement bouleversée. « Oh ! chère, chère Julia ! Oh ! j’ai été un enfant désobéissant ! » – Je l’apaise par mes caresses. – Je fais un tableau idéal de D. C. aux portes du tombeau. – D. de nouveau bouleversée. « Oh ! que faire ? que faire ? Emmenez-moi quelque part ! » – Grande alarme ! – Évanouissement de D. – Verre d’eau apporté d’un café. (Ressemblance poétique. Une enseigne bigarrée sur la porte du café. La vie humaine aussi est bigarrée. Hélas ! J. M.)

« Vendredi. – Jour plein d’événements. – Un homme se présente à la cuisine, porteur d’un sac bleu : il demande les brodequins qu’une dame a laissés pour qu’on les raccommode. La cuisinière répond qu’elle n’a pas reçu d’ordres. L’homme insiste. La cuisinière se retire pour demander ce qu’il en est ; elle laisse l’homme seul avec Jip. Au retour de la cuisinière, l’homme insiste encore, puis il se retire. J. a disparu ; D. est au désespoir. On fait avertir la police. L’homme a un gros nez, et les jambes en cerceau, comme les arches d’un pont. On cherche dans toutes les directions. Pas de J. – D. pleure amèrement ; elle est inconsolable. – Nouvelle allusion à une jeune gazelle, à propos, mais sans effet. – Vers le soir, un jeune garçon inconnu se présente. On le fait entrer au salon.