Elle tenait une lettre et rougit en voyant la tenue débraillée de Mony qui se reculotta :
– Ne vous en allez pas, mademoiselle la jolie blonde, j’ai deux mots à vous dire.
En même temps, il ferma la porte et, saisissant la jolie Mariette par la taille, il l’embrassa goulûment sur la bouche. Elle se débattit d’abord serrant très fort les lèvres, mais bientôt, sous l’étreinte, elle commença à s’abandonner, puis sa bouche s’ouvrit. La langue du prince y pénétra aussitôt mordue par Mariette dont la langue mobile vint chatouiller l’extrémité de celle de Mony.
D’une main, le jeune homme entourait sa taille, de l’autre, il relevait ses jupes. Elle ne portait pas de pantalon. Sa main fut rapidement entre deux cuisses grosses et rondes qu’on ne lui eût pas supposées car elle était grande et mince. Elle avait un con très poilu. Elle était très chaude et la main fut bientôt à l’intérieur d’une fente humide, tandis que Mariette s’abandonnait en avançant le ventre. Sa main à elle errait sur la braguette de Mony qu’elle arriva à déboutonner. Elle en sortit le superbe boutejoie qu’elle n’avait fait qu’apercevoir en entrant. Ils se branlaient doucement ; lui, lui pinçant le clitoris ; elle, pressant son pouce sur le méat du vit. Il la poussa sur le sofa où elle tomba assise. Il lui releva les jambes et se les mit sur les épaules, tandis qu’elle se dégrafait pour faire jaillir deux superbes tétons bandants qu’il se mit à sucer tour à tour en faisant pénétrer dans le con sa pine brûlante. Bientôt elle se mit à crier :
– C’est bon, c’est bon... comme tu le fais bien...
Alors elle donna des coups de cul désordonnés, puis il la sentit décharger en disant :
– Tiens... je jouis... tiens... prends tout.
– Aussitôt après, elle lui empoigna brusquement la pine en disant :
– Assez pour ici.
Elle la sortit du con et se l’entra dans un autre trou tout rond, placé un peu plus bas, comme un œil de cyclope entre deux globes charnus, blancs et frais. La pine, lubrifiée par le foutre féminin, pénétra facilement et, après avoir culeté vivement, le prince lâcha tout son sperme dans le cul de la jolie femme de chambre. Ensuite il sortit sa pine qui fit : « floc », comme quand on débouche une bouteille et sur le bout il y avait encore du foutre mêlé d’un peu de merde. À ce moment, on sonna dans le corridor et Mariette dit : « Il faut que j’aille voir ». Et elle se sauva après avoir embrassé Mony qui lui mit deux louis dans la main. Dès qu’elle fut sortie, il se lava la queue, puis décacheta la lettre qui contenait ceci :
« Mon beau Roumain,
« Que deviens-tu ? Tu dois être remis de tes fatigues. Mais souviens-toi de ce que tu m’as dit : Si je ne fais pas l’amour vingt fois de suite, que onze mille verges me châtient. Tu ne l’as pas fait vingt fois, tant pis pour toi.
« L’autre jour tu as été reçu dans le foutoir d’Alexine, rue Duphot. Mais maintenant que nous te connaissons, tu peux venir chez moi. Chez Alexine, ce n’est pas possible. Elle ne peut même pas me recevoir, moi. C’est pour ça qu’elle a un foutoir. Son sénateur est trop jaloux. Moi je m’en fous ; mon amant est explorateur, il est en train d’enfiler des perles avec des négresses de la Côte d’Ivoire. Tu peux venir chez moi, 214, rue de Prony.
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