Nous t’attendons à quatre heures. »
Culculine d’Ancône.
Sitôt qu’il eut lu cette lettre, le prince regarda l’heure. Il était onze heures du matin. Il sonna pour faire monter le masseur qui le massa, et l’encula proprement. Cette séance le vivifia. Il prit un bain et il se sentait frais et dispos en sonnant pour le coiffeur qui le coiffa et l’encula artistiquement. Le pédicure-manucure monta ensuite. Il lui fit les ongles et l’encula vigoureusement. Alors le prince se sentit tout à fait à l’aise. Il descendit sur les boulevards, déjeuna copieusement, puis prit un fiacre qui le mena rue de Prony. C’était un petit hôtel, tout entier habité par Culculine. Une vieille bonne l’introduisit. Cette habitation était meublée avec un goût exquis.
On le fit entrer de suite dans une chambre à coucher dont le lit très bas et en cuivre était très large. Le parquet était recouvert de peaux de bêtes qui étouffaient le bruit des pas. Le prince se déshabilla rapidement et il était tout nu lorsque entrèrent Alexine et Culculine dans des déshabillés ravissants. Elles se mirent à rire et l’embrassèrent. Il commença par s’asseoir, puis prit les deux jeunes femmes chacune sur une de ses jambes, mais en relevant leur jupon de façon qu’elles restaient décemment habillées et qu’il sentait leurs culs nus sur ses cuisses. Puis il se mit à les branler chacune d’une main, tandis qu’elles lui chatouillaient le vit. Quand il les sentit bien excitées, il leur dit :
– Maintenant nous allons faire la classe.
Il les fit asseoir sur une chaise en face de lui et, après avoir réfléchi un instant, leur dit :
– Mesdemoiselles, je viens de sentir que vous n’avez pas de pantalon. Vous devriez avoir honte. Allez vite en mettre un.
Quand elles revinrent, il commença la classe.
– Mademoiselle Alexine Mangetout, comment s’appelle le roi d’Italie ?
– Si tu crois que ça m’occupe, je n’en sais rien, dit Alexine.
– Allez vous mettre sur le lit, cria le professeur.
Il la fit mettre sur le lit à genoux et le dos tourné, lui fit relever les jupes et écarter la fente du pantalon d’où émergèrent les globes éclatants de blancheur des fesses. Alors il se mit à taper dessus du plat de la main ; bientôt le postérieur commença à rougir. Cela excitait Alexine qui faisait beau cul, mais bientôt le prince lui-même n’y tint plus. Passant ses mains autour du buste de la jeune femme, il lui empoigna ses tétons sous le peignoir, puis, faisant descendre une main, il lui chatouilla le clitoris et sentit que son con était tout mouillé.
Ses mains à elle n’étaient pas inactives ; elles avaient empoigné la pine du prince et l’avaient dirigée dans le sentier étroit de Sodome. Alexine se penchait de façon à ce que son cul ressortît mieux et pour faciliter l’entrée à la bitte de Mony.
Bientôt le gland fut dedans, le reste suivit et les couilles venaient battre au bas des fesses de la jeune femme. Culculine qui s’embêtait se mit aussi sur le lit et lécha le con d’Alexine qui, fêtée des deux côtés, jouissait à en pleurer. Son corps secoué par la volupté se tordait comme si elle souffrait. Il s’échappait de sa gorge des râles voluptueux. La grosse pine lui remplissait le cul et allant en avant, en arrière, venait heurter la membrane qui la séparait de la langue de Culculine qui recueillait le jus provoqué par ce passe-temps. Le ventre de Mony venait battre le cul d’Alexine. Bientôt le prince culeta plus fort.
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