Il se mit à mordre le cou de la jeune femme. La pine s’enfla. Alexine ne put plus supporter tant de bonheur ; elle s’affala sur la face de Culculine qui ne cessa pas de lécher, tandis que le prince la suivait dans sa chute, pine dans le cul. Encore quelques coups de reins, puis Mony lâcha son foutre. Elle resta étendue sur le lit tandis que Mony allait se laver et que Culculine se levait pour pisser. Elle prit un seau, se mit debout dessus, les jambes écartées, releva son jupon et pissa copieusement, puis, pour souffler les dernières gouttes qui restaient dans les poils, elle lâcha un petit pet tendre et discret qui excita considérablement Mony.

– Chie-moi dans les mains, chie-moi dans les mains ! s’écria-t-il.

Elle sourit ; il se mit derrière elle, tandis qu’elle baissait un peu le cul et commençait à faire des efforts. Elle avait un petit pantalon de batiste transparente au travers duquel on apercevait ses belles cuisses nerveuses. Des bas noirs à jour lui montaient au-dessus du genou et moulaient deux merveilleux mollets d’un galbe incomparable, ni trop gros ni trop maigres. Le cul ressortait dans cette position, admirablement encadré par la fente du pantalon. Mony regardait attentivement les deux fesses brunes et roses, duvetées, animées par un sang généreux. Il apercevait le bas de l’épine dorsale un peu saillante et en dessous, la raie culière commençait. D’abord large, puis s’étrécissant et devenant profonde au fur et à mesure que l’épaisseur des fesses augmentait ; on arrivait ainsi jusqu’au troufignon brun et rond, tout plissé. Les efforts de la jeune femme eurent d’abord pour effet de dilater le trou du cul et de faire sortir un peu d’une peau lisse et rose qui se trouve à l’intérieur et ressemble à une lèvre retroussée.

– Chie donc ! criait Mony.

Bientôt apparut un petit bout de merde, pointu et insignifiant, qui montra la tête et rentra aussitôt dans sa caverne. Il reparut ensuite, suivi lentement et majestueusement par le reste du saucisson qui constituait un des plus beaux étrons qu’un gros intestin eût jamais produit.

La merde sortait onctueuse et ininterrompue, filée avec calme comme un câble de navire. Elle pendillait gracieusement entre les jolies fesses qui s’écartaient de plus en plus. Bientôt elle se balança plus fort. Le cul se dilata encore plus, se secoua un peu et la merde tomba, toute chaude et fumante, dans les mains de Mony qui se tendaient pour la recevoir. Alors il cria « Reste comme ça ! » et, se penchant, il lui lécha bien le trou du cul en faisant rouler l’étron dans ses mains. Ensuite il l’écrasa avec volupté, puis s’en enduisit tout le corps. Culculine se déshabillait pour faire comme Alexine qui s’était mise nue et montrait à Mony son gros cul transparent de blonde : « Chie-moi dessus ! », cria Mony à Alexine en s’étendant par terre. Elle s’accroupit sur lui, mais pas complètement. Il pouvait jouir du spectacle offert par son trou du cul. Les premiers efforts eurent pour résultat de faire sortir un peu du foutre que Mony y avait mis ; ensuite vint la merde, jaune et molle, qui tomba en plusieurs fois et, comme elle riait et se remuait, la merde tombait de côté et d’autre sur le corps de Mony qui eut bientôt le ventre orné de plusieurs de ces limaces odoriférantes.

Alexine avait pissé en même temps et le jet tout chaud, tombant sur la pine de Mony, avait réveillé ses esprits animaux. La quille commença à se soulever petit à petit en enflant jusqu’au moment où, arrivée à sa grosseur normale, le gland se tenait, rouge comme une grosse prune, sous les yeux de la jeune femme qui, s’en rapprochant, s’accroupit de plus en plus, faisant pénétrer la pine en érection entre les bords velus du con large ouvert. Mony jouissait du spectacle. Le cul d’Alexine, en se baissant, étalait de plus en plus sa rotondité appétissante. Ses rondeurs affriolantes s’affirmaient et l’écartement des fesses s’accusait de plus en plus. Quand le cul fut bien descendu, que la pine fut complètement engloutie, le cul se releva et commença un joli mouvement de va-et-vient qui modifiait son volume dans des proportions importantes et c’était un spectacle délicieux. Mony tout emmerdé jouissait profondément ; bientôt il sentit le vagin se resserrer et Alexine dit d’une voix étranglée :

– Salaud, ça vient... je jouis ! et elle lâcha sa semence.