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Cachez les palais morts dans des niches de planches ;
L’ancien jour effaré rafraîchit vos regards ;
Voici le troupeau roux des tordeuses de hanches !
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Quand tes pieds ont dansé si fort dans les colères,
Paris ! quand tu reçus tant de coups de couteau,
Quand tu gis, retenant dans tes prunelles claires
Un peu de la bonté du fauve renouveau.
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