Not houses, sties,
Hovels. And more,
Forges galore.
Red glow the skies!

Smells? Oh là!
Noise? Trains growl past.
Our eyes, aghast.
This? Charleroi...?

Stenches abounding!
What’s that? What is
That whir? That whiz?
Like sistrum sounding?
Sites brutaux!
Oh! votre haleine,
Sueur humaine,
Cris des métaux!

Dans l’herbe noire
Les Kobolds vont.
Le vent profond
Pleure, on veut croire.

Dens, brutal, reeking!
Your breath, a debt
Of human sweat,
Hot metals shrieking!

The Kobolds come!
Grass, black. And deep
The winds. They weep.
Or so think some.

Green

Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches
Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous.
Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches
Et qu’à vos yeux si beaux l’humble présent soit doux.

J’arrive tout couvert encore de rosée
Que le vent du matin vient glacer à mon front.
Souffrez que ma fatigue à vos pieds reposée
Rêve des chers instants qui la délasseront.

Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête
Toute sonore encor de vos derniers baisers;
Laissez-la s’apaiser de la bonne tempête,
Et que je dorme un peu puisque vous reposez.

Green

Here, take these boughs, leaves, fruits, and flowers. And take
This heart that beats for you alone. Take care
Lest, taking, with those soft, white hands, you break
This humble gift I pray your eyes find fair.

To you I come, still cloaked with morning dew,
Breeze-frozen on my brow. Ah, let me, please,
Lie at your feet, dream of the times we knew:
Precious those times, restful their memories.

Let my head, filled with kisses echoing yet,
Loll on the fresh, young beauty of your breast;
Let it find calm above love’s storm, and let
Me sleep a little, even as you rest.

Spleen

Les roses étaient toutes rouges
Et les lierres étaient tout noirs.

Chère, pour peu que tu te bouges,
Renaissent tous mes désespoirs.

Le ciel était trop bleu, trop tendre,
La mer trop verte et l’air trop doux.

Je crains toujours,—ce qu’est d’attendre!—
Quelque fuite atroce de vous.

Du houx à la feuille vernie
Et du luisant buis je suis las,

Et de la campagne infinie
Et de tout, fors de vous, hélas!

Spleen

The roses were the reddest red,
The ivy vines the blackest black.

You merely move, and deep my dread,
And, dark, my woes come springing back.

Too blue, too gentle was the sky,
The air too sweet, too green the sea.

I fear, I languish... ah! lest I
See you betray me, flee from me.