Et c’est, jusqu’aux soirs d’hyacinthe,
Sur la table d’ardoise où, l’an dix-sept cent vingt,
Un diacre grava son sobriquet latin
Maigre comme une prose à des vitraux d’église,
La toux des flacons noirs qui jamais ne les grise.
François Coppée.
A. R.
Lady Columbine,
Well-shagged concubine,
Plays notes and beams
In eye of rabbit,
Which—off the planet —
Copiously streams.
Paul Verlaine
A. R.
‘I was sitting…’
I was sitting in a Third-Class carriage; an old priest
Took out his pipe and stuck his calm head,
With its pale hair, out of the window, into the wind.
Then this Christian, ignoring gibes and provocations,
Turned and asked me, vigour tinged with sadness,
If I could spare him some tobacco—seems
He’d once been head padre to some Royal or other
Sentenced yet again —
To lessen the boredom of a tunnel, dark vein
Opened to passengers, near Soissons, a town in Aisne.
‘In Spring, no doubt…’
In Spring, no doubt I prefer the drinking-place
Where dwarf chestnut-trees stir with new life,
By that little strip of pleasure-ground, in May.
Chastised puppies sniff around The Drinkers,
Trample neatly planted Hyacinths.
And, until purple evening’s fragrances,
On the slate-table where, in 1720, a deacon
Carved his Latin nickname, meagre as prose
Read by church-glass light, black bottles splutter,
And fail to get them drunk.
François Coppée
A. R.
L’Humanité chaussait…’
L’Humanité chaussait le vaste enfant Progrès.
Louis-Xavier de Ricard.
A. Rimbaud.
Conneries
I Jeune goinfre
Casquette
De moire,
Quéquette
D’ivoire,
Toilette
Très noire,
Paul guette
L’armoire,
Projette
Languette
Sur poire,
S’apprête
Baguette,
Et foire.
A.R.
II Paris
Al. Godillot, Gambier,
Galopeau, Volf-Pleyel,
—Ô Robinets!—Menier,
—Ô Christs!—Leperdriel!
‘Progress, big baby…’
Progress, big baby, wore shoes by Humanity.
Louis-Xavier de Ricard
A. Rimbaud
Stupidities
I Young Glutton
Silky
Cap
Ivory
Chap
In sober
Suit
Paul eyes the
Brute
Tongue
In cheeks’
Abodes
Aims
Full-cock
—Explodes.
A. R.
II Paris
Al. Godillot,* Gambier,
Galopeau, Volf-Pleyel,
—O Taps!—Menier,
You Christs!—Leperdriel!
Kinck, Jacob, Bonbonnel!
Veuillot, Tropmann, Augier!
Gill, Mendès, Manuel,
Guido Gonin!—Panier
Des Grâces! L’Hérissé!
Cirages onctueux!
Pains vieux, spiritueux!
Aveugles!—puis, qui sait?—
Sergents de ville, Enghiens
Chez soi!—Soyons chrétiens!
A. R.
Conneries 2e série
I Cocher ivre
Pouacre
Boit:
Nacre
Voit:
Âcre
Loi,
Fiacre
Choit!
Femme
Tombe:
Lombe
Saigne:
—Clame!
Geigne.
A. R.
Kinck, Jacob, Bonbonnel!
Veuillot, Tropmann, Augier!
Gill, Mendès, Manuel,
Guido Gonin!—Basket
Of Graces! L’Hérissé!
Oily waxes!
Old bread, spirits!
Blind!—but who knows?—
Policemen, Your Own Spa Cure
At home!—Act like Christians!
A. R.
Stupidities—Second Series
I Drunken Coachman
Drunk
Skunk
Stars
Sees.
Harsh
Law:
Coach →
Trees.
Girl
Hurled,
Much
Blood.
Boo
Hoo!
A. R.
Vieux de la vieille!
Aux paysans de l’empereur!
A l’empereur des paysans!
Au fils de Mars,
Au glorieux 18 Mars!
Où le ciel d’Eugénie a béni les entrailles!
État de siège?
Le pauvre postillon, sous le dais de fer blanc,
Chauffant une engelure énorme sous son gant,
Suit son lourd omnibus parmi la rive gauche,
Et de son aine en flamme écarte la sacoche.
Et tandis que, douce ombre où des gendarmes sont,
L’honnête intérieur regarde au ciel profond
La lune se bercer parmi la verte ouate,
Malgré l’édit et l’heure encore délicate,
Et que l’omnibus rentre à l’Odéon, impur
Le débauché glapit au carrefour obscur!
François Coppée.
A. R.
Le Balai
C’est un humble balai de chiendent, trop dur
Pour une chambre ou pour la peinture d’un mur.
L’usage en est navrant et ne vaut pas qu’on rie.
Racine prise à quelque ancienne prairie
Son crin inerte sèche: et son manche a blanchi,
Tel un bois d’île à la canicule rougi.
La cordelette semble une tresse gelée.
J’aime de cet object la saveur désolée
Et j’en voudrais laver tes larges bords de lait,
Ô Lune où l’esprit de nos Sœurs mortes se plaît.
F. C.
Old Lady’s Old Men!
Here’s to the emperor’s peasants!
Here’s to the peasants’ emperor!
Here’s to the son of Mars,
The glorious 18th March!*
When Heaven blessed the fruit of Eugénie’s womb!
State of Siege?
The poor conductor, in his tin shelter,
Warming a huge chilblain inside his glove,
Goes down the Left Bank with his heavy omnibus,
Keeping his moneybag clear of his swollen groin.
And while, in the soft recesses
Of the nark-infested bus, good citizens stare
At the moon nestling in the sky’s green cotton-wool,
Despite the curfew, the tricky hour, and as
The bus heads towards the Odéon, a stinking
Debauchee yelps into the darkened square!
François Coppée
A. R.
The Broom
It’s just a humble broom, too stiff
To do a room or paint a wall;
Troublesome to use, it’s no fun.
Root ripped from some ancient meadow,
Its mane of hair lies drying; its handle has bleached
Like island timber left out in too much sun.
The braided strands seem a frozen plait.
I love this object’s devastated flavour,
And I’d like to wash down your milky sides
With it, Moon, where our dead Sisters’ spirit thrives.
F. C.
Exils
… … … … … … … … … … … …… …..
Que l’on s’intéressa souvent, mon cher Conneau!…
Plus qu’à l’Oncle Vainqueur, au Petit Ramponneau!…
Que tout honnête instinct sort du Peuple débile!…
Hélas!! Et qui a fait tourner mal notre bile!…
Et qu’il nous sied déjà de pousser le verrou
Au Vent que les enfants nomment Bari-barou!…
… … … … … … … … … … … … … …
Fragment d’une épitre en vers de Napoléon III, 1871.
L’Angelot maudit
Toits bleuâtres et portes blanches
Comme en de nocturnes dimanches,
Au bout de la ville sans bruit
La Rue est blanche, et c’est la nuit.
La Rue a des maisons étranges
Avec des persiennes d’Anges.
Mais, vers une borne, voici
Accourir, mauvais et transi,
Un noir Angelot qui titube,
Ayant trop mangé de jujube.
Il fait caca: puis disparaît:
Mais son caca maudit paraît,
Sous la lune sainte qui vaque,
De sang sale un léger cloaque!
Louis Ratisbonne.
A. Rimbaud.
Exiles
….… … … … … … … … … … … … … …
That often we were interested, dear Conneau!…
In little Ramponneau more than the triumphant uncle!…
All decent instincts come from the powerless People!…
Which, alas, made our anger turn sour!…
And now, it’s right we should bolt the door
To that wind children call Bari-Barou!…
… … … … … … … …… … … … … … ….
Fragment of a verse epistle on Napoleon III, 1871
Damned Cherub
Bluish roofs and whitened doorways
As you’d see on lateish Sundays
In silence, down one end of town;
The street is blank, and night comes down.
Up the road, houses are lined,
Their windows hung with angel-blinds.
But, over by a boundary-stone,
Bad, and frozen to the bone,
A cherub falters, black as pitch;
He’s overdosed on liquorice.
He has a dump; and disappears;
His cursèd caca now appears,
Beneath the holey* lunar light,
A pile of bloody dirty shite.
Louis Ratisbonne
A. Rimbaud
‘Les soirs d’été…’
Les soirs d’été, sous l’œil ardent des devantures,
Quand la sève frémit sous les grilles obscures
Irradiant au pied des grêles marronniers,
Hors de ces groupes noirs, joyeux ou casaniers,
Suceurs du brûle-gueule ou baiseurs du cigare,
Dans le kiosque mi-pierre étroit où je m’égare,
—Tandis qu’en haut rougoie une annonce d’Ibled,—
Je songe que l’hiver figera le Filet
D’eau propre qui bruit, apaisant l’onde humaine,
—Et que l’âpre aquilon n’épargne aucune veine.
François Coppée.
A. Rimbaud.
‘Aux livres de chevet…’
Aux livres de chevet, livres de l’art serein,
Obermann et Genlis, Vert-Vert et Le Lutrin,
Blasé de nouveauté grisâtre et saugrenue,
J’espère, la vieillesse étant enfin venue,
Ajouter le Traité du Docteur Venetti.
Je saurai, revenu du public abêti,
Goûter le charme ancien des dessins nécessaires.
Écrivain et graveur ont doré les misères
Sexuelles: et c’est, n’est-ce pas, cordial:
Dr Venetti, Traité de l’Amour conjugal.
F. Coppée.
A. R.
‘On summer nights…’
On summer nights, under the shopfront’s piercing eyes,
When sap trembles beneath the dark grilles
Glinting round the base of slender chestnut-trees,
I leave those black bunches of people, stay-at-home
Types or full of fun, pipe-suckers, cigar-chewers,
And drift towards the stone-dressed pavilion,
—While up above, there glows an ad for chocolate—
And I think how winter will blanket Tibet
With clean, pure noisy water, stilling the human tide,
—And how the bitter wind snaps every thread of life.
François Coppée
A. Rimbaud
‘To my bedside reading…’
To my bedside reading, books of sublime artistry,
Vert-Vert and Lutrin, Obermann, Genlis,
Unimpressed by dust-grey vapid novelties,
I hope, in my dotage, when at last it comes,
To add Dr Venetti’s* disquisition.
Giving up on the cretinous crowd, I’ll be able
To savour the antique charm of explanatory drawings.
Writer’s and engraver’s ink has gilded sexual miseries,
And that, don’t you agree? warms the heart:
Dr Venetti’s Treatise on Conjugal Love.
F. Coppée
A. R.
Hypotyposes saturniennes,
ex Belmontet
Quel est donc ce mystère impénétrable et sombre?
Pourquoi, sans projeter leur voile blanche, sombre
Tout jeune esquif royal gréé?

Renversons la douleur de nos lacrymatoires.
… … … … … … … … … … …
L’amour veut vivre aux dépens de sa sœur,
L’amitié vit aux dépens de son frère.
… … … … … … … … … … … ….
Le sceptre, qu’à peine on révère,
N’est que la croix d’un grand calvaire
Sur le volcan des nations!
… … … … … … … … … … … ….
Oh! l’honneur ruisselait sur ta mâle moustache.
Belmontet,
archétype Parnassien.
Les Remembrances du vieillard idiot
Pardon, mon père!
Jeune, aux foires de campagne,
Je cherchais, non le tir banal où tout coup gagne,
Mais l’endroit plein de cris où les ânes, le flanc
Fatigué, déployaient ce long tube sanglant
Que je ne comprends pas encore!…
Et puis ma mère,
Dont la chemise avait une senteur amère
Saturnian hypotyposes,
ex-Belmontet
So, what’s this sombre and opaque mystery?
Why, never thrusting its white jib, does every
Young rigged-out royal skiff sink?

Let’s spill our tear-bottles brimming with pain—
… … … … … … … … … … … ….
Love wants to live off the sister,
Friendship lives off the brother.
… … … … … … … … … … … … … ….
The sceptre, scarcely venerated,
Is just a great Calvary cross placed
On the volcano of nations!
… … … … … … … … … … … … … ….
Oh, honour went streaming down your male moustache.
Belmontet,
Parnassian archetype
Remembrances of Senility
Forgive me, father!
At country fairs,
When I was young, I sought out
Not the silly rifle-range where everyone’s
A winner, but the place where clapped-out
Braying donkeys showed that long red tube of blood
Which still makes no sense to me!…
And then my mother,
Whose blouse smelled sour, with its frayed hem,
Quoique fripée au bas et jaune comme un fruit,
Ma mère qui montait au lit avec un bruit
—Fils du travail pourtant,—ma mère, avec sa cuisse
De femme mûre, avec ses reins très gros où plisse
Le linge, me donna ces chaleurs que l’on tait!…
Une honte plus crue et plus calme, c’était
Quand ma petite sœur au retour de la classe,
Ayant usé longtemps ses sabots sur la glace,
Pissait, et regardait s’échapper de sa lèvre
D’en bas serrée et rose, un fil d’urine mièvre!…
Ô pardon!
Je songeais à mon père parfois:
Le soir, le jeu de carte et les mots plus grivois,
Le voisin, et moi qu’on écartait, choses vues…
—Car un père est troublant!—et les choses conçues!…
Son genou, câlineur parfois; son pantalon
Dont mon doigt désirait ouvrir la fente,… —oh! non!—
Pour avoir le bout, gros, noir et dur, de mon père,
Dont la pileuse main me berçait!…
Je veux taire
Le pot, l’assiette à manche, entrevue au grenier,
Les almanachs couverts en rouge, et le panier
De charpie, et la Bible, et les lieux, et la bonne,
La Sainte-Vierge et le crucifix…
Oh! personne
Ne fut si fréquemment troublé, comme étonné!
Et maintenant, que le pardon me soit donné:
Puisque les sens infects m’ont mis de leurs victimes,
Je me confesse de l’aveu des jeunes crimes!…
… … … … … … … … … … … … …..
Puis!—qu’il me soit permis de parler au Seigneur!
Pourquoi la puberté tardive et le malheur
Du gland tenace et trop consulté? Pourquoi l’ombre
Si lente au bas du ventre? et ces terreurs sans nombre
Comblant toujours la joie ainsi qu’un gravier noir?
And yellow as a piece of fruit,
My mother who noisily climbed the stairs to bed
—Child of Labour, note well—my full-thighed
Mother with huge hips making tucks in her clothes,
Caused me fevers one keeps quiet about!…
A calmer, cruder shame was when
My little sister, coming home from school,
Her clogs worn thin by the ice underfoot,
Pissed, and watched the slender thread
Escaping from her tight, pink other lips!…
Oh, please forgive me!
I thought sometimes of my father;
The evening hand of cards, the smutty talk,
The neighbour, me sent packing as I’d seen too much…
—For a father’s frightening!—and the things
Imagined!—His knee, sometimes welcoming; his trouser-fly
My fingers wanted to unbutton—no!—
To get to the great, hard, dark nub of him,
The man whose hairy hand rocked me!…
I won’t speak
Of the pot, the plate with its handle, glimpsed
In the attic, the red-covered almanacs,
The linen-basket, Bible, corners, maid,
The blessed Virgin and the crucifix…
No, no one
Knew such frequent torments, was so surprised!
Now, may I be forgiven;
Since vile flesh has scored its victory,
I confess my youthful crimes!…
… … … … … … … … … … … … … … …
And then—allow me to address the Lord!—
Why the slow puberty, the curse
Of the over-consulted stubborn glans? Why
The crotch’s shadow, so slowly? and those endless fears,
Black gravel coming after pleasure?
—Moi j’ai toujours été stupéfait! Quoi savoir?
… … … … … … … … … … … …
Pardonné?…
Reprenez la chancelière bleue,
Mon père.
Ô cette enfance! … … … … … …..
… … … … … … … … … … … … …..
… … … … … … …—et tirons-nous la queue!
François Coppée.
A. R.
Ressouvenir
Cette année où naquit le Prince impérial
Me laisse un souvenir largement cordial
D’un Paris limpide où des N d’or et de neige
Aux grilles du palais, aux gradins du manège,
Éclatent, tricolorement enrubannés.
Dans le remous public des grands chapeaux fanés,
Des chauds gilets à fleurs, des vieilles redingotes,
Et des chants d’ouvriers anciens dans les gargotes,
Sur des châles jonchés l’Empereur marche, noir
Et propre, avec la Sainte Espagnole, le soir.
François Coppée.
—I’ve always been aghast! What can I know?
… … … … … … … … … … …..
Forgiven?…
Father, have back
The blue footwarmer.
O that childhood! … …
… … … … … … … … … … … ….
… … … … …. —and take ourselves in hand!
François Coppée
A. R.
Recollection
The year the Prince Imperial was born
Leaves me with a largely pleasant memory—
A cleaned-up Paris where gold and snow-white Ns*
Shine from palace railings, carousels,
Ribboned with red, white, and blue.
Among the general bustle, the big faded hats
And warm floral waistcoats, old dress-coats,
Among old workmen’s songs coming from canteens,
There in the evening goes the Emperor, clean and dark,
Treading on spread-out shawls, Our Lady of Spain on his arm.
François Coppée
‘L’enfant qui ramassa les balles…’
L’enfant qui ramassa les balles, le Pubère
Où circule le sang de l’exil et d’un Père
Illustre, entend germer sa vie avec l’espoir
De sa figure et de sa stature et veut voir
Des rideaux autres que ceux du Trône et des Crèches.
Aussi son buste exquis n’aspire pas aux brèches
De l’Avenir!—Il a laissé l’ancien jouet.—
Ô son doux rêve ô son bel Enghien! Son œil est
Approfondi par quelque immense solitude;
‘Pauvre jeune homme, il a sans doute l’Habitude!’
François Coppée.
‘The child who picked up bullets…’
The child who picked up bullets, Pubescent Lad
Whose veins course with the blood of exile and Father
Illustrious, hears the new buds of his life
Open, eager to look the part, and wants to see
Different drapes from those you get on Thrones and Cribs.
Besides, his refined features weren’t made to go
Once more unto that breach, the Future—he’s outgrown
The old plaything—His sweet dream, lovely spa bath
In your home! His eye’s a pool of great loneliness;
‘Poor young man, he’s no doubt got The Habit!’
François Coppée
Les Stupra
L’Idole. Sonnet du Trou du Cul
Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu’au cœur de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré sous le vent cruel qui les repousse,
A travers de petits caillots de marne rousse
Pour s’aller perdre où la pente les appelait.
Mon Rêve s’aboucha souvent à sa ventouse;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C’est l’olive pâmée, et la flûte câline,
C’est le tube où descend la céleste praline:
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos!
Albert Mérat.
P. V.—A.
1 comment