C’est ce que nous disait notre vielle bonne.»
Berthe se leva, regarda de tous côtés, puis s’accroupit près du banc et commença à pisser. Je me penchai vite pour tout voir et vis en haut de sa fente un jet mince et large qui tombait obliquement sur le sol.
« Mais non, Roger ! s’écria-t-elle d’un ton pleurard, cela ne se fait pas ! »
Elle cessa de pisser et se releva.
« Mais Berthe, personne ne nous voit, soit gentille », répondis-je.
Je souris et ajoutai : « Regarde-moi, je ne me gêne pas devant toi. » Je commençai à pisser, mais par à-coups, parce que mon membre était encore raide. Berthe éclata de rire. Je profitai de sa bonne humeur, soulevai rapidement son jupon et sa chemise, l’accroupis de force et la forçai à pisser.
Elle ne fit plus de résistance, écarta ses jambes et se pencha un peu. Je vis le jet qui tombait sur le sol en faisant des éclaboussures. À la fin il devint plus faible. Finalement, il me sembla que ma sœur faisait des efforts, sa fente s’ouvrait tout en haut et l’on voyait la chair rouge. Cela n’avait duré que quelques secondes, le jet cessa et quelques gouttes en tombèrent seules encore.
Alors j’empoignai de mes deux mains les lèvres de son con et je les écartai. Ceci sembla lui causer beaucoup de plaisir, car sans cela elle n’eût pas tenu sa chemise en l’air avec tant de complaisance.
À la fin je découvris que sa fente, que l’on pouvait comparer à une moule entrouverte, contenait encore deux lèvres, mais plus petites que celles du dehors.
Celles-ci étaient d’une belle couleur rouge et fermées. En haut, on voyait un petit trou par où elle avait pissé. On voyait aussi un petit bout de chair de la grosseur d’un petit pois. Je le touchai et le trouvai très dur.
Ces attouchements semblaient plaire à ma sœur car elle se tint tranquille, sauf qu’elle poussait un peu le ventre en avant.
Elle devint très excitée et souleva encore sa chemise au-dessus du nombril. Alors je visitai son ventre. Je lui passai les mains partout. Je chatouillai son nombril et mis ma langue autour. Puis je me reculai pour mieux voir.
Alors seulement je vis les jolis poils qui ornaient la motte grasse et triangulaire de Berthe.
À la vérité, il y en avait peu, ils étaient courts, duveteux et de couleur si claire que vraiment il fallait être bien près pour les voir. Chez moi il n’y en avait pas plus, mais ils étaient plus noirs.
Je les tortillai un peu et manifestai mon étonnement au sujet de la différence de couleur de nos poils.
Mais Berthe répondit : « C’est toujours comme ça !
– Comment sais-tu cela ?
– Kate me l’a dit, quand nous étions au bain seules. D’ailleurs je vais bientôt avoir mes affaires.
– Qu’est-ce que c’est que ça ?
– Le con laisse couler du sang tous les mois pendant quelques jours. Kate a eu des poils et ses affaires au même âge que moi.
– A-t-elle aussi des poils comme toi ?
– Mais non ! » dit Berthe d’un air de supériorité et, laissant retomber ses vêtements, elle ajouta : « Kate a les poils roux et moi je les ai blonds. Elle se met de l’huile sur la tête pour paraître plus foncée. D’ailleurs elle a tellement de poils, qu’on ne peut voir sa chose que si elle écarte bien les jambes. »
Pendant que Berthe disait tout cela, mon membre avait perdu sa raideur. Berthe le remarqua et dit :
« Vois, ton chose est redevenu tout petit. Kate m’a bien dit cela, un jour que je lui avais demandé pourquoi elle avait ri dans la salle de bains. Elle m’a raconté que le membre de Roger s’était dressé comme celui d’un homme. Il paraît qu’il est d’ailleurs assez gros. “S’il était un homme, a-t-elle ajouté, je me le laisserais bien mettre par lui. Prends garde, Berthe, qu’il ne te le mettre pas.”
– Qu’est-ce que ça veut dire : le mettre ? demandai-je.
– Eh bien, oui ! quand on se les frotte l’un à l’autre. Kate me l’a déjà fait et j’ai dû le lui faire aussi. Elle m’a fait bien plus de plaisir que toi tout à l’heure. Elle se mouille toujours le doigt.
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