Entre les cuisses fermées, j’aperçus un petit buisson de poils châtains mais dans lequel on ne pouvait distinguer de fente.
Je tombai sur les genoux, saisis ses cuisses, les tâtai de toutes parts, les caressai, mis mes joues dessus et les baisai. Des cuisses, mes lèvres montèrent au mont de Vénus qui sentait la pisse, ce qui m’excita encore plus.
Je soulevai sa chemise et regardai avec étonnement l’énormité de son ventre, où le nombril était en relief au lieu d’être en creux comme chez ma sœur.
Je léchai ce nombril. Elle était immobile, ses seins pendaient sur les côtés. Je soulevai un de ses pieds et le portai sur le lit. Son con m’apparut. Je m’effrayai d’abord en voyant les deux grandes lèvres, épaisses et enflées, dont la couleur rouge tournait au brun.
Sa grossesse me laissait jouir de cette vue d’une façon très complète. Ses lèvres étaient ouvertes, et à l’intérieur, où je jetai un coup d’œil, j’aperçus tout un étal de boucherie où la viande était d’un beau rouge humide.
En haut des grandes lèvres le trou à pipi se montrait surmonté d’un petit grain de viande, c’était le clitoris, comme je m’en rendis compte, par ce que j’avais appris dans l’atlas anatomique.
La partie supérieure de la fente se perdait dans les poils qui couvraient un mont de Vénus d’un embonpoint démesuré. Les lèvres étaient presque dépourvues de poils et la peau, entre les cuisses, était humide et rougie par la sueur.
En vérité, le spectacle n’était pas admirable, mais il me plut d’autant plus que cette femme était assez propre. Je ne pus m’empêcher de placer ma langue dans sa fente et rapidement je léchai et pourléchai le clitoris qui durcissait sous mon glottisme enragé.
Ce léchage me fatigua bientôt, je remplaçai ma langue par un doigt, la fente était très humide. Alors je m’emparai des tétons dont je pris les pointes en bouche en les suçant tour à tour. Mon index ne quittait pas le clitoris qui durcissait et grandissait. Il eut bientôt la taille de mon petit doigt et la grosseur d’un crayon.
Là-dessus, la femme reprit ses esprits et se mit à pleurer, mais sans quitter la position que je lui avais imposée. Je compatissais un peu à sa peine, mais j’étais trop excité pour m’en soucier réellement. Je lui dis des mots cajoleurs pour la consoler. Finalement, je lui promis d’être le parrain de l’enfant qu’elle attendait.
J’allai dans mon tiroir, et tirai de l’argent que je donnais à la femme qui avait réparé son désordre. Ensuite j’enlevai ma chemise et ressentis une certaine honte à me retrouver nu devant une femme, surtout mariée et enceinte.
Je pris la main moite de la régisseuse et la posai sur mon membre. Ce contact était réellement exquis.
Elle pressa d’abord doucement, puis plus fort. J’avais empoigné ses tétons qui m’attiraient.
Je l’embrassai sur la bouche et elle me donna ses lèvres avec empressement.
Tout en moi tendait vers le plaisir. Je me plaçai entre les cuisses de la régisseuse assise, mais elle s’écria : « Pas sur moi, cela me fait mal. Je ne peux plus me le laisser faire par devant. »
Elle descendit du lit, se tourna et se courba, le visage sur le lit. Elle n’ajouta pas une parole, mais mon instinct me donna le mot de l’énigme. Je me souvins d’avoir vu deux chiens à l’œuvre. Je pris aussitôt Médor comme exemple et soulevai la chemise de Diane, c’était le nom de la régisseuse.
Le cul m’apparut, mais un cul comme je n’en avais jamais rêvé. Si le cul de Berthe était gracieux, vraiment il était sans importance auprès de celui-là. Mes deux fesses ensemble ne faisaient pas la moitié d’une seule de ce cul miraculeux dont la chair était d’ailleurs très ferme. Il était blanc à éblouir comme les tétons et les belles cuisses.
Dans la fente, il y avait des poils blonds et cette fente divisait profondément ce cul étonnant en deux superbes fesses.
Au-dessous du cul colossal, entre les cuisses, apparaissait le con gras et juteux dans lequel je fouillai d’un doigt rigoleur.
Je plaçai ma poitrine contre le cul nu de la femme et essayai d’entourer de mes bras son ventre insaisissable qui pendait comme un globe majestueux.
Alors, j’embrassai ses fesses, puis j’y frottai mon membre. Mais ma curiosité n’était pas encore satisfaite. J’ouvris les fesses et inspectai le trou du cul. Il était en relief comme le nombril et brun, mais très propre.
J’y mis mon doigt, mais elle eut un mouvement de recul et je craignis de lui avoir fait mal. Aussi n’insistai-je point.
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