Je plaçai ma pine brûlante dans son con, comme un couteau dans une motte de beurre. Puis je me démenai comme un beau diable en faisant claquer mon ventre contre le cul élastique.
Cela me mit complètement hors de moi. Je ne savais plus ce que je faisais et j’arrivai ainsi au terme de la volupté en éjaculant pour la première fois ma semence dans le con d’une femme.
Je voulais m’attarder dans cette agréable position après la décharge, mais la régisseuse se retourna et se recouvrit pudiquement. Pendant qu’elle reboutonnait sa camisole, j’entendis un petit flic-flac, c’était mon sperme qui coulait de son con et était tombé sur le sol. Elle l’étala avec le pied et frotta sa jupe entre ses cuisses pour s’essuyer.
Lorsqu’elle me vit devant elle, la pine à demi bandante, rouge et toute humide, elle sourit, tira son mouchoir et nettoya soigneusement le membre qui l’avait fêtée.
« Habillez-vous donc, monsieur Roger, dit-elle, il faut que je m’en aille ; mais pour l’amour du ciel, que personne ne sache jamais, ajouta-t-elle en rougissant, ce qui s’est passé entre nous, sans ça je ne vous aimerais plus. »
Je la pressai contre moi, deux baisers furent échangés et elle s’en alla, me laissant avec un flot de sensations nouvelles qui m’avaient fait presque oublier la confession.
Chapitre VI
Aussi doucement que possible, je pénétrai dans l’étroit couloir. J’étais en savates et je m’approchai de la cloison de bois. J’eus bientôt trouvé la place d’où l’on entendait le mieux. Le capucin s’était arrangé pour que seule la personne qui se confessait restât dans l’oratoire, tandis que ceux qui attendaient se tenaient dans la chapelle.
En conséquence, on n’avait pas besoin de parler à voix basse. Et la conversation était très distincte. Je remarquai à la voix qu’un paysan était au confessionnal. La confession devait être commencée depuis longtemps, car le capucin parla ainsi :
Le confesseur. – Ainsi tu dis que dans les cabinets tu joues toujours avec ton membre. Pourquoi le fais-tu, combien de temps, et cela s’est-il reproduit souvent ?
Le paysan. – En général, deux fois par semaine, mais parfois tous les jours, jusqu’à ce que ça vienne. Je ne peux pas m’en empêcher, ça me fait trop de bien.
Le confesseur. – Et avec les femmes ne l’as-tu jamais fait ?
Le paysan. – Une seule fois avec une vieille.
Le confesseur. – Raconte-moi cela et ne me cache rien.
Le paysan. – J’étais une fois avec la vieille Rosalie, dans le grenier à foin. J’ai commencé à bander et j’ai dit : « Rosalie, y a-t-il longtemps que tu n’as plus eu d’homme ? » Elle me dit : « Ah salaud ! C’est-y-bien Dieu possible ? il y a au moins quarante ans. Et je n’en veux plus aucun. J’ai déjà soixante ans d’âge. » Je lui réplique : « Va, Rosalie, je voudrais bien voir, une fois, une femme nue ; déshabille-toi. » Elle dit : « Non, je n’ai pas confiance, le diable pourrait venir. » Alors j’ai dit : « La dernière fois que tu l’as fait il n’est pourtant pas venu. » Alors j’ai tiré l’échelle, de façon à ce que personne ne puisse monter. J’ai tiré mon membre et le lui ai montré. Elle l’a regardée et m’a dit : « Il est encore plus gros que celui de mon salaud de Jean. » Je lui dis : « Rosalie, maintenant, il faut me faire voir ton con. » Elle n’a rien voulu me montrer, mais je lui ai relevé les jupes par-dessus la tête et je l’ai bien regardée...
Le confesseur. – Allons, la suite, qu’est-ce qui est arrivé ?
Le paysan. – Elle avait une grande fente au bas du ventre. C’était violet comme une quetsche tardive et au-dessus, il y avait un buisson de poils gris.
Le confesseur. – Je ne te demande pas cela ; qu’as-tu fait ?
Le paysan. – J’ai fourré ma saucisse dans sa fente jusqu’aux couilles qui n’ont pas pu y entrer. Dès que je fus dedans, Rosalie a commencé à remuer son ventre en avant et en arrière et m’a crié : « Prends-moi sous le cul, cochon ! Mets-y les mains et remue-toi comme moi. » Alors nous avons remué tous les deux, si bien que j’ai commencé à avoir chaud, et la Rosalie s’est tellement trémoussée que, sauf votre respect, elle a déchargé cinq ou six fois.
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